Auglobal, le marché du surgelé pèse 9 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France. Ce qui représente, en volume, près de 2 millions de tonnes de marchandises, d’après Syndigel. Les produits bruts Jouissant d’une image plus positive que les produits ultra-transformés, les produits bruts sont l’un des piliers du marché du surgelé en France.
Cuisinéen Bretagne avec de la viande bovine origine France, ce hachis parmentier est garanti sans conservateurs, sans colorants artificiels ni arômes artificiels. Pour le préparer, rien de plus simple : il vous suffit de le faire réchauffer 6 minutes au micro-ondes, sans décongélation préalable. Ce plat convient pour une personne.
EnEspagne, le marché des produits surgelés a enregistré une baisse de 3% en 2020, après cinq ans de croissance continue du secteur. Les restrictions ont particulièrement affecté les ventes qui s’effectuaient pour alimenter les restaurants et les hôtels, marchés clients de taille pour le secteur. Le secteur est éclaté puisque les
Taïwan- Belle dynamique sur le marché des plats cuisinés surgelés. mardi 4 février 2020. Selon les statistiques publiées par le ministère des Affaires économiques (MOEA), le chiffre d’affaires du secteur des plats cuisinés surgelés a atteint plus de 46 Mds TWD (1,36 Md EUR) en 2018. En outre, 85 % des acheteurs choisissent de
Lacarotte belge bien installée sur le marché français. La France a produit 77% de sa consommation de carottes en 2020. A noter que la Belgique exporte 70 % de sa production vers la France. La France en revanche, n’exportait que 13% de sa production, soit 71 000 tonnes en 2020. Les exportations sont baissières depuis plusieurs années.
Sila météo atypique a impacté le marché cette saison, l’offre continue de booster le rayon des surgelés. La profondeur des gammes et la démarche d’innovation menée par l’ensemble des industriels permettent aux glaces de poursuivre depuis 10 ans leur croissance de fond : +2,9% de chiffre d’affaires, en moyenne par an, bien au-delà de la moyenne annuelle du
Cettestatistique montre les ventes de produits surgelés et glaces en valeur en France entre décembre 2018 et décembre 2019, par catégorie de produits, en millions d'euros.
Larémunération des producteurs est vérifiée par nous les consommateurs. Nous organisons des visites sociétaires régulièrement dans le but de rencontrer les producteurs associés à la démarche, d’en apprendre plus sur leur métier et de vérifier que le cahier des charges « C’est qui le Patron ?! » est bien respecté. 🧐.
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Le marché progresse de façon ininterrompue depuis huit ans. Compte tenu du poids croissant des produits industriels sur le marché global de la BVP en France, la consommation des ménages en BVPI s’établira 8,4 milliards d’euros en 2021, dont 3,7 milliards sur le segment du pain soit 35% du total et 4,7 milliards sur celui de la viennoiserie 75% du total, selon nos prévisions. Le chiffre d’affaires des industriels de la BVP progressera lui de 5% en 2019, avant de ralentir à l’horizon 2021 +3% par an, d’après nos projections. Face à une demande globalement bien orientée, de nombreux opérateurs ont réalisé des investissements capacitaires ces derniers mois, que ce soit pour répondre à une demande dynamique en RHF Bimbo QSR Fleury ou à l’export Délifrance, Bridor. La montée en puissance de l’outil industriel contribuera ainsi à la hausse de l’activité du secteur en valeur. En outre, les stratégies de montée en gamme des opérateurs porteront leurs fruits sur les circuits grand public pains bio, complet, sans gluten etc. comme sur les circuits professionnels montée en puissance du précuit surgelé aux dépens du cru surgelé. Seul bémol, il sera difficile pour les opérateurs de revaloriser leur prix, déjà en forte augmentation entre 2017 et 2018 suite à l’envolée des cours du beurre et des œufs. La suppression de la taxe farine au 1er janvier 2019 15,24 euros la tonne en 2018 pourrait même avoir un effet déflationniste. Baguettes, croissants et autres viennoiseries et pâtisseries industrielles rencontrent par ailleurs un franc succès à l’étranger. Et le fait est suffisamment rare pour être souligné des entreprises tricolores gagnent des parts de marché à l’international alors que l’industrie alimentaire hexagonale, dans son ensemble, souffre d’un déficit de compétitivité généralisé à l’export. Quelles sont les catégories d’opérateurs sur ce marché ? La BVPI regroupe quatre grands profils d’acteurs. D’une part les groupes industriels spécialisés Pasquier, Norac, Cérélia ou Mademoiselle Dessert ou diversifiés Barilla ou Vandemoortele. D’autre part les groupes intégrés en amont, à l’image des coopératives Vivescia ou Limagrain ou encore de l’entreprise privée Soufflet, ou en aval, tels que Le Duff et Holder, respectivement propriétaires des chaînes Brioche Dorée et Boulangerie Paul, ou encore Les Mousquetaires. Parmi ces opérateurs, certains sont spécialisés dans les pains et viennoiseries surgelés destinés aux circuits professionnels ou à l’export tandis que d’autres sont dédiés aux produits frais préemballés commercialisés en GMS. Dans ces circuits de distribution grand public, de nouveaux affrontements sont à prévoir entre les grandes marques Pasquier, La Boulangère, Harry’s, Jacquet, Fournée Dorée, etc. dans les segments porteurs du bio et du responsable ». Des produits aujourd’hui novateurs mais qui se banalisent pour devenir les futurs standards du marché. Au-delà de la concurrence intra-sectorielle, les circuits artisanaux font de la résistance. Quels sont les principaux leviers de croissance des acteurs ? Pour maintenir le cap sur la croissance, les industriels de la BVPI peuvent activer plusieurs leviers. Compte tenu de l’image d’excellence de la boulangerie française, la conquête des marchés étrangers, déjà évoquée, est bien sûr l’un d’entre eux. Certains acteurs investissent d’ailleurs directement à l’international, à l’instar de Bridor qui possède désormais six sites de production et de nombreuses enseignes en dehors du marché français. L’extension de l’offre, en particulier vers des produits mieux valorisés par les clients, est un autre levier. Le retour des pains tradition, le sans additif, la naturalité, la transparence et les produits responsables symbolisent cette montée en gamme. Barilla a ainsi lancé sa propre filière Blé responsable en 2018 et investi les marchés sans gluten et bio. Les industriels innovent également pour se positionner sur les créneaux des produits apéritifs et de snacking. En somme, le marché de la boulangerie-viennoiserie-pâtisserie industrielle est promis à une croissance durable. Auteur de l’étude Matteo Neri Bienvenue !Vous êtes désormais inscrit. Vous recevrez prochainement notre newsletter hebdomadaire NEORESTAURATION.
- - JEAN-PIERRE MULLER / AFPLes ventes de produits surgelés ont décollé depuis que la crise sanitaire fait rage en France, jusqu’à atteindre des hausses de plus de 80% la semaine du 16 le laissaient présager la hausse des ventes de congélateurs, parmi les produits qui font fureur ces dernières semaines en supermarché, les surgelés surfent sur le haut de la vague. Depuis le 24 février, les ventes de ce rayon ont progressé en moyenne de 38%, selon le panéliste Iri. Soit bien plus vite que les autres produits de grande consommation, qui ont eux crû de 18% sur la même le détail, la progression des ventes de surgelés se montrait de plus en plus impressionnante d’une semaine sur l’autre. La courbe a commencé à grimper la dernière semaine de février, alors que la France enregistrait son 100e cas de malades du coronavirus. Timidement au départ, avec des produits surgelés en progression de 9% cette première semaine, puis de 14% la première de mars. Puis l’emballement a atteint des proportions jamais vues, avec 55% de ventes en plus la semaine du 9 mars, et même 81% de plus celle du 16 mars, “quelques jours après l’annonce du confinement en France”, contextualise Margot Levis, experte surgelé du cabinet IRI. Se rendre moins souvent en magasinCes hausses ont été tirées pour l’essentiel non pas par les glaces -le rayon surgelé sucré n’a crû que de 1% depuis fin-février- mais par le salé. Ainsi la catégorie qui a le plus crû est celle des viandes +136% la semaine du 16 mars, suivi des légumes surgelés. Et en troisième, en hausse modérée par rapport au deux premiers, arrivent les plats préparés surgelés +68%. Ces nuances montrent que “les Français continuent de cuisiner leurs repas, mais ils préfèrent des produits qui se gardent plus longtemps, pour se rendre moins souvent en magasin”, souligne Margot Levis. Depuis la fin mars, la frénésie d’achat de viandes et légumes surgelés s’est largement calmée. “Les Français ont stockés, les congélateurs sont pleins, donc la croissance ralentit sur les surgelés salés, comme d’ailleurs sur les autres produits de grande consommation, qui ont tous connu des ventes folles ces dernières semaines". En tout cas ces ventes tombent à pic pour un marché du surgelé qui ne se portait pas très bien, encore en recul de 0,7% sur l’année 2019, rappelle la spécialiste d’IRI. “Avec la tendance du bien manger ces dernières années, les surgelés subissaient un fort report au profit du frais”.
Le groupe agroalimentaire Bonduelle démarre la recherche d’investisseurs, voire d’acquéreurs, pour ses activités de légumes en conserve et surgelés aux États-Unis et au Canada. Des activités regroupées dans une business unit baptisée Ball, qui compte près de 3 000 salariés et pèse 615 millions d’euros dans le chiffre d’affaires du groupe nordiste, qui s’établit à 2,7 milliards d’euros sur l’exercice 2020/2021 + 1,6 % par rapport à 2019/2020, hors taux de change. À ce stade, rien n’est exclu partenariats, nouvelle organisation actionnariale, cession totale, etc. "Divers scenarii sont à l’étude. Nous retiendrons la meilleure solution pour poursuivre la croissance de Ball et pour le groupe", annonce Guillaume Debrosse, directeur général de Bonduelle. Un marché américain concurrentiel L’activité de Ball est restée stable sur cet exercice 2020/2021 par rapport au précédent. Sur ce marché de la conserve et du surgelé, le groupe nordiste occupe une "position industrielle dominante au Canada, souligne Guillaume Debrosse. Les perspectives de développement se situent aux États-Unis, mais nos outils de production y sont saturés et d’autres acteurs sont présents. Pour continuer à faire de la croissance, il faut investir." Ces investissements, le groupe nordiste ne souhaite pas les assumer seul. "Il s’agit d’investissements avec un retour garanti, mais importants. Il faudrait par exemple acquérir des entrepôts frigorifiques, dont le prix avoisine les 20 millions de dollars", précise-t-il. Cette future cession de Ball, qu’elle soit totale ou partielle, ne marque pas un désintérêt du groupe pour l’Amérique du Nord. Bonduelle y possède une autre business unit, dédiée aux activités de frais, qui représente 31 % de l’ensemble des activités outre-Atlantique. Elle affiche un chiffre d’affaires de 668 millions d’euros mais est en déficit, en raison du manque de main-d’œuvre, des invendus et maladies qui perturbent les approvisionnements, de l’inflation et de surcoûts logistiques liés à la crise. Elle fait donc l’objet "d’un plan musclé de redressement", indique Grégory Sanson, directeur financier du groupe Bonduelle. Une source de financement Cette opération va permettre au groupe de financer ses priorités stratégiques, comme de dynamiser ses marques propres, tombées à 47 % du chiffre d’affaires en 2020/2021 contre plus de la moitié sur les précédents exercices. Cela permettra aussi de financer la démarche RSE Bonduelle a d’ailleurs souscrit un crédit revolving ou renouvelable de 400 millions d’euros pour soutenir les actions en vue d’obtenir la certification "B Corp" octroyée aux entreprises répondant à des exigences sociétales et environnementales, de gouvernance et de transparence d’ici 2025. Cette décision autour de Ball intervient dans un contexte compliqué pour Bonduelle, marqué par la crise sanitaire et une campagne agricole 2021 délicate. Le groupe "reste en bonne santé financière, mais avec des ressources plus limitées, notamment pour faire des acquisitions", affirme Grégory Sanson. Les taux de change "privent le groupe de 123 millions d’euros de chiffre d’affaires et de 4 millions d’euros de rentabilité opérationnelle courante". Le résultat net, lui, progresse tout de même de 4,6 %, pour s’établir à 57,1 millions d’euros.
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